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"Etre & Faire" dispose de plusieurs outils. Ici nous mettons en avant deux outils majeurs de La santé par la relation. 

Le contenu est disponible en lecture ci-dessous ou en téléchargement. 

L’échelle émotionnelle du soi, notre « biocomputer »

La mécanique de la relation : l’intelligence des sens

L’échelle émotionnelle du soi, notre « biocomputer »

L’échelle émotionnelle du Soi, un grand S

A partir du centre partent les deux branches du grand S aplati et couché, la branche supérieure montant jusqu’à « +00 », la branche inférieure descendant jusqu’à « - 00 ». Qui que vous soyez, quels que soient votre degré d’évolution et votre humeur du jour, votre état intérieur se trouve forcément, à tout moment, quelque part sur ce grand S.


A partir du centre, « 48 » (chiffre mathématique ontologique) d’où partent les deux branches, l’état du soi est appelé « état de conscience neutre » celui où vous êtes simplement présent au monde, attentif, la tête claire. L’état où l’on devrait se trouver en Société, lorsqu’on communique avec d’autres, lorsqu’on enseigne, lorsqu’on apprend. L’état à construire chaque matin par
des exercices de conscience du corps, d’axes et de respiration. Si nous souhaitons rester conscient à l’instant, nous nous promenons généralement dans les parages du 48, en tentant alors de le maintenir par notre posture physique.
 

Ensuite nous nous décalons par exemple vers le haut en « +24 », nous sommes en pleine possession de nos moyens, état dit « professionnel », on peut se mettre en pilotage automatique, nous accomplissons nos tâches avec dextérité et plaisir.


A l’inverse, imaginez-vous maintenant malade, grippé ou bien durement remis en cause par la hiérarchie, ou abandonné, dans un « grand moment de solitude », mais contraint de continuer la tâche entreprise. Vous vous trouvez en « -24 » état dit « négatif de base ». Dans cet état, vous pouvez encore agir, mais mal, vous devenez un danger pour les autres. Tout devient laborieux.
 

En « +12 ». C’est l’extase, l’état de grâce, la musique s’empare de vous, tout resplendit, tout vous parait beau, vous avez la baraka. Vous êtes follement amoureux. Vous êtes en état « d’amour cosmique »

Vous n’avez guère de mal à imaginer le « -12 » c’est l’horreur ! vous êtes dans l’incapacité d’aller au travail, autour de vous c’est le brouillard, vous doutez de tout, surtout de vous, cet état s’appelle « l’extrême négativité »
 

Au « +6 » vous êtes dans un état « d’extrême conscience », tandis que le « -6 » est « l’entrée en enfer ». Quant à « +3 » et « -3 » les deux derniers barreaux connus de l’échelle du soi, ils échappent à beaucoup d’entre nous. C’est d’un côté « l’essence pure » et de l’autre « l’égo absolu », quintessence du négatif et de la solitude.

 

Imaginons un citoyen lambda, qui vit tranquillement sa vie, quelque part autour de son centre de neutralité, d’un seul coup, sans qu’il comprenne pourquoi, il se casse la figure en « -24 » (son amour le quitte, la maladie le frappe… etc.). Comme si une trappe s’ouvrait sous ses pas et qu’il se ratatinait trois mètres plus bas. Il lui faut ensuite une énergie folle pour se « rassembler », se réparer, puis remonter au niveau neutre, où l’on vit en Société. L’ennui c’est que la chose se renouvelle au cours d’une vie, le piège se ré-ouvre une fois, deux, trois dix, cent fois. Car l’on retombe à longueur de vie dans les mêmes erreurs.

Jusqu’au jour où, par ouverture d’esprit, au lieu de tomber inconsciemment, il parvient à rester lucide pendant le bref instant de la chute. Alors il s’aperçoit stupéfait, que la dalle de béton « -24 », qu’il connait bien puisqu’il s’y est si souvent cassé le nez, est en fait une planche souple, un tremplin ! et s’il parvient à rebondir dessus, il rencontre « le rebond », et remonte directement en « +24 » ce rebond est appelé « l’effet trampoline »

Ensuite vous vous apercevez que la chute en « -24 » du moins cette façon-là de se retrouver en « état négatif de base » ne vous pose plus de problème. Vous avez définitivement désamorcé un « métaprogramme négatif » de votre biocomputer pour la Vie

L’apprentissage est donc d’apprendre en toute conscience à voyager sur cette échelle du soi en accompagnant le mouvement descendant avec un réel plaisir jusqu’à l’effet « trampoline ».

Sachez que l’égo (l’image de soi) lui, ne peut vous transporter que vers des états négatifs »

Khalil Gibran dit simplement : « Pour connaitre la joie, il faut connaitre la tristesse »

La mécanique de la relation : l’intelligence des sens

L’impact des mots, le ressenti, la posture physique

La relation à l’autre est un circuit de pensées, d’énergie, d’intentions qui se véhiculent par le support des mots ou du regard. Il s’agit d’un seul et même mouvement de l’émetteur au récepteur

Lors d’un événement ou lors d’une conversation, d’un moment de relation, les 5 sens se conjuguent, s’exercent ensemble spontanément et produisent un effet : « le ressenti » autrement dit : j’ai entendu, vu, senti, touché ou goûté, que s’est il produit dans mon corps, dans mon « sensible » ? 2 possibilités :

  1. l’effet est subtil je n’en tiens pas compte et continue mon action avec une trace et un impact sans admettre ce changement physiologique.
  2. l’effet est violent : mon corps résiste par la manifestation d’une douleur voire
    d’un malaise. Je suis contraint de prendre en compte l’effet physique et le
    symptôme.

A) - Les mots ont un impact physique !

Oui chaque mot a un impact physique qui « resserre » ou « dilate » la matière physiologique. Le mot a une « traduction étymologique » que mon mental restitue. Les sens eux ont entendu la tonalité, vu la gestuelle qui l’accompagnait, le regard d’intention etc. La restitution est « un ressenti » qui provoque immédiatement un IMPACT (une douleur, un resserrement, une chaleur, une pensée…)

Nous fonctionnons par résonnance, la pensée résonne alors sur la mémoire de notre histoire, nous nous faisons alors une idée qui rapatrie cette mémoire dans notre présent. Nous rentrons alors souvent dans la fatalité de notre capacité ou notre incapacité à voir l’événement « autrement » que comme « déjà vu ».

B) Notre fonctionnement organique relationnelle 

Prenons un mot au hasard « Bleu », la 1 ère réponse qui nous arrive tout d’abord à l’esprit par résonnance sur notre cadre de vie immédiat et d’histoire est souvent la symbolique du mot (ciel, mer, mal..), puis par le mental (couleur, nuances, ématome…). Nous déduirons alors que les capteurs de l’information forment « l’intelligence sensorielle », et que « l’intelligence mentale », traite ensuite cette information.

Quand un orateur nous parle face à un large public d’un sujet qui n’intéressera a priori que partie de ce public. La différence d’écoute se jouera dans la capacité de l’orateur à s’approprier son sujet ce jour dans son état d’être et à prendre en compte son ressenti de l’environnement. Il rendra son propos vivant et pourra alors concerner plus largement son auditoire.

En Occident nous priorisons depuis plus d’un siècle « le mental » en le différenciant et en lui donnant « tout pouvoir ». L’intelligence des sens, elle, est immédiate et vivante, elle prend en compte ce qui est « vivant », présent et ce qui se passe. L’effet produit est « le ressenti », le mental qui, lui, compare, analyse va prendre en compte ce ressenti (le contexte) ou pas.

Le résultat pour un cours magistral donné que sur le savoir appris, sera incompris pour une grande partie du public ; Le résultat pour un cours utilisant l’intelligence globale (sensorielle et mentale) sera reçu et compris par l’ensemble du public.

C) La posture physique dans la relation

L’idée de la chose, ne fait pas la chose sinon c’est faire sans le message du corps.

La posture en axes, solide et mobile assure le point neutre en point de départ : Le moyen pour respecter la combinaison chronologique des intelligences et rendre plus performante notre intelligence globale c’est la posture physique qui doit être équilibrée, axée, souple, consciente (pieds, colonne vertébrales, respiration, souffle…). La relation est un exercice physique qui devient sportif si « enjeu ».

L’humour, elle, est l’essence spontanée de la sensibilité, elle s’exprime par l’intelligence globale et favorise le rebond.

Vous n’avez guère de mal à imaginer le « -12 » c’est l’horreur ! vous êtes dans l’incapacité d’aller au travail, autour de vous c’est le brouillard, vous doutez de tout, surtout de vous, cet état s’appelle « l’extrême négativité »
 

Au « +6 » vous êtes dans un état « d’extrême conscience », tandis que le « -6 » est « l’entrée en enfer ». Quant à « +3 » et « -3 » les deux derniers barreaux connus de l’échelle du soi, ils échappent à beaucoup d’entre nous. C’est d’un côté « l’essence pure » et de l’autre « l’égo absolu », quintessence du négatif et de la solitude.

 

Imaginons un citoyen lambda, qui vit tranquillement sa vie, quelque part autour de son centre de neutralité, d’un seul coup, sans qu’il comprenne pourquoi, il se casse la figure en « -24 » (son amour le quitte, la maladie le frappe… etc.). Comme si une trappe s’ouvrait sous ses pas et qu’il se ratatinait trois mètres plus bas. Il lui faut ensuite une énergie folle pour se « rassembler », se réparer, puis remonter au niveau neutre, où l’on vit en Société. L’ennui c’est que la chose se renouvelle au cours d’une vie, le piège se ré-ouvre une fois, deux, trois dix, cent fois. Car l’on retombe à longueur de vie dans les mêmes erreurs.

Jusqu’au jour où, par ouverture d’esprit, au lieu de tomber inconsciemment, il parvient à rester lucide pendant le bref instant de la chute. Alors il s’aperçoit stupéfait, que la dalle de béton « -24 », qu’il connait bien puisqu’il s’y est si souvent cassé le nez, est en fait une planche souple, un tremplin ! et s’il parvient à rebondir dessus, il rencontre « le rebond », et remonte directement en « +24 » ce rebond est appelé « l’effet trampoline »

Ensuite vous vous apercevez que la chute en « -24 » du moins cette façon-là de se retrouver en « état négatif de base » ne vous pose plus de problème. Vous avez définitivement désamorcé un « métaprogramme négatif » de votre biocomputer pour la Vie

L’apprentissage est donc d’apprendre en toute conscience à voyager sur cette échelle du soi en accompagnant le mouvement descendant avec un réel plaisir jusqu’à l’effet « trampoline ».

Sachez que l’égo (l’image de soi) lui, ne peut vous transporter que vers des états négatifs »

Khalil Gibran dit simplement : « Pour connaitre la joie, il faut connaitre la tristesse »

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Mise à jour le 24 janvier 2024

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